31/03/2015
Pourquoi Abdelaziz Bouteflika n’est pas Fidel Castro ?


Le premier est sorti du chapeau d’un Merlin qui n’a rien d’enchanteur, Boumediene. Fidèle disciple, il a fait à son tour jaillir derrière son dos un frangin masqué avant de s’asseoir sur le trône cadeau des généraux aux fausses médailles dorées, mais lingots 24 carats certifiés.
Avec la méthode bien rodée de l’instabilité au secours du changement et l’inverse, il est venu après une guerre dite civile et deux présidents in vitro grâce aux mêmes donneurs. L’un, soi-disant, a démissionné et l’autre, soi-disant, assassiné par un déséquilibré.
Quant à Fidel, malgré le record au monde des tentatives d’assassinat, 648 depuis 1959 en majorité commis par la CIA (Wikipédia), il n’a pas chômé et a pris tous les chemins de la croix malgré son athéisme. C’est lui, talonné par son frère Raûl, le Mouvement du 26 juillet reconnu comme le point de départ de la révolution cubaine. Emprisonnés à deux pendant des années puis exilés avant la rencontre avec le "Che" Guevara pour sauver Cuba des griffes de la dictature corrompue de Batista.
Souvenons-nous, Abdelaziz aussi est venu en cadeau du ciel, en sauveur pour décapiter l’hydre islamiste et apportant la Concorde pour tous. Mais comment confondre fakhamatouhou avec El Comandante ? Le premier est le meilleur courtisan de la Première puissance au monde, l’autre en est l’entêtante épine d’Eisenhower à Bush Junior. "…en janvier 1961 la CIA s’était donnée comme objectif le renversement de Fidel Castro…qui ne menaçait aucunement la sécurité des États-Unis, mais avait nui fortement à ses intérêts économiques en augmentant le prix du sucre et du tabac..." (1)
Déjà la grande Amérique s’identifiait à ses sucreries et ses cigarettes comme elle s’identifie aujourd’hui à Wall Street. En avril 2004, 77 entreprises ont été condamnées à une amende de 200 millions de dollars pour non-respect de l’embargo, le plus long de l’Histoire, imposé par les USA contre Cuba… Heureusement que Fidel, pire cauchemar de la Banque, est "aseptisé" et "stérile". Quand dans les années 1990 la rumeur l’avait accrédité d’un compte helvétique de 1,5 milliard, le leader Maximo a répliqué : "Si quelqu’un trouve 1 seul dollar dans un compte étranger, je démissionne immédiatement !"
La CIA s’était empressée de relever le défi, en vain. Que dire d’Abdelaziz, l’anti-Fidel, il suffit de remonter au temps où il était le célèbre ministre des Affaires étrangères de l’Algérie indépendante. Houari Boumediene n’a pas hésité à faire un coup d’État avec le risque d’un bain de sang national parce que le fauteuil de son "chouchou" était menacé. Sans parler du pardon de Chadli pour les frasques sonnantes et trébuchantes, de l’exil doré entre Genève, Paris ,Doha et le retour à point pour la fabuleuse envolée de l’or noir et d’une Concorde autocollante.
Quant à Fidel, il est resté fidèle au poste subissant le cordon sanitaire occidental depuis plus d’un demi-siècle avant que la maladie ne le frappe au même moment qu’Abdelaziz. L’un soigné par des Français en France, l’autre par des Cubains à Cuba.
Il faut préciser la "délocalisation" à l’ère de la mondialisation, telle l’origine ethnique quand on parle de la nationalité française. Il ne manquerait plus de prendre Moh ou Mohamed pour un Gaulois et le pousser vers le vide de l’église pour lui épargner la bousculade de la mosquée. Une étude sur les civilisations menée par des mathématiciens et financée par la NASA vient de révéler qu’il reste à peine 15 ans de vie à notre civilisation.
Ces experts se sont basés sur la similitude des facteurs qui ont mené à l’effondrement des anciens empires et ceux qui sévissent dans l’Empire d’aujourd’hui. C'est-à-dire le nombre d’êtres humains en déphasage avec la quantité de nourriture, l’écart abyssal entre les pauvres et les riches et les "crises de nerfs"climatiques. On le sait, le déséquilibre c’est la fin de la normalité. C’est le dépassement de la ligne rouge, pas celle d’Obama, mais de dame Nature. L’anomalie qui nous concerne est celle d’une Algérie, riche prospère zen qui n’a que des amis puissants n’ayant jamais connu d’embargo surtout pas en ce qui concerne la santé, se retrouve incapable de soigner son "messie".
Cuba, la pestiférée, sans pétrole n’a pas seulement réussi sa santé, mais aussi son école, son agriculture, son tourisme, etc. Tout ce que l’Algérie a lamentablement échoué malgré les immenses potentialités qui font l’unanimité. Saïd, le frangin bien nommé, apparaît dans les coulisses en dauphin officiel mal connu, une sorte d’énigme sans énigme.
D’après Wikipédia on lui attribue un doctorat de l’Université Pierre-et-Marie-Curie à Paris, spécialité l’intelligence artificielle. Mystérieuse ombre désintégrée dans la "transparente maison en verre" de l’illustre frère. Fatalement, la populace qui adore les lumières s’en méfie, qui rêve d’horizons visibles ne branche pas. Contrairement à Raul qui progresse en douceur depuis le début sous les projecteurs telle la tortue expérimentée et lucide qu’aucun lièvre ne saura ridiculiser.
Loi impitoyable des espèces : un cafard ne peut engendrer qu’un cafard. Manipuler les gènes, on obtiendrait un monstre à défaut d’une colombe. Le leader Maximo se meurt encensé par tout un peuple tandis que fakhamatouhou n’est plus qu’un invisible corps en perfusion dont le clan au lieu de l’enterrer aboie son ingratitude en diversion. "Qui dit quoi, par quel canal, à qui et avec quel effet ?", dit la théorie de Lasswel remise en question dès 1950 par les Américains qui lui reprochent l’oubli des leaders d’opinion chargés de transmettre le message.
Traduction : le messager est plus important que le contenu de son message. Sans la confiance, on n’atteint jamais la masse. Ah si l’Algérie pouvait passer en douceur d’Abdelaziz à Saïd comme l’ile des grandes Antilles de Fidel à Raul. Mais l’Algérie n’est pas Cuba, dira Djouha. La première n’est île qu’en langue arabe et le chercheur en langue arabe Salah Belaîd affirme : "…on peut reconnaitre un Tunisien ou un Egyptien à sa langue, mais pas un Algérien." (2)
Sans être un sourd-muet de naissance, l’Algérien, censé parler "sa" langue l’arabe, est le seul élément non identifiable dans le monde arabe. Il est loin le temps du tout à médire sur l’"ile maudite" de Cuba, l’enthousiasme est tel qu’on ne cesse de faire des documentaires sur la vie de ces étonnants Cubains tenus hors du monde depuis plusieurs décennies.
Une seconde découverte de Christophe Colomb ou une nouvelle planète qu’on croyait hostile et qui s’avère miraculeuse. Quant à l’Algérie, rien à dire, ni à médire sur "l’ile baraka" sans baraka. "Donnez-le-moi intelligent même s’il ne sait pas lire", dit le vieux proverbe.
La devise actuelle a fait mieux : sans aucune intelligence, il saura lire la pub que Castro a interdite. Castro qui a réussi à placer son pays au 3e rang avant les USA avec un taux d’alphabétisation de 99, 8 % (PNUD).
Cuba possède le taux de médecins par habitant le plus élevé au monde poussant les Occidentaux à venir s’y soigner avec des frais jusqu’à 60-80 % moins chers qu’en USA. En 1998, l’OMS a donné au Comandante la médaille d’or de la Santé pour tous.
En 2011 l’ONG "Save the Children" (organisation internationale américaine qui lutte pour les droits de l’enfant) a publié une étude sur la qualité des soins pour les enfants dans 161 pays. Cuba fut classé 8e avant l’Allemagne la France, l’Angleterre et les USA. L’industrie pharmaceutique cubaine est l’une des 6 au monde qui produit une protéine interferon (INF).
Elle produit aussi le facteur de croissance épidermique, les médicaments anticancéreux, le vaccin contre l’hépatite B et la liste est longue y compris celui contre le virus du sida qui est en bonne voie de réalisation. Selon la directrice de l’OMS, Margaret Chan juillet 2014 : "Cuba est le seul pays qui dispose d’un système de santé étroitement lié à la recherche et au développement. C’est la voie à suivre…"
En parlant de vaccins, on ne peut s’empêcher de penser au scandale du NIPA ou les «âmes mortes du NIPA» (Nouvel Institut Pasteur d’Algérie) (3) Le NIPA devait être le plus grand complexe de production de vaccins d’Afrique voire du monde. Il fut lancé en 1975 et avec la méthode à l’algérienne qui a fait ses preuves de réévaluations en réévaluations, les travaux ont fini par s’arrêter en 1983 après avoir englouti des sommes astronomiques au grand bonheur de la mafia de la santé et des rapaces du ciment. Boudiaf avait l’intention de rouvrir le dossier, mais il fut liquidé à temps.
Comme des «idiots», les Castro n’ont jamais pensé à cette facile rapide rentable ruse. Pour sauver son peuple de la famine due à l’effroyable embargo et la fréquence de cyclones meurtriers, le leader Maximo est passé d’une "agriculture intensive et productiviste dirigée vers l’exportation à une agriculture extensive et biologique de proximité." Pour réussir cet exploit, il a dû jouer au dictateur sans partage.
Des exploits, Bouteflika en a fait, d’étonnants même quand, à peine couronné Dey de la Régence d’Alger, il se précipita en juin 2000 à Paris pour déclarer aux députés français que l’Algérie veut entreprendre avec la France : « des relations « extraordinaires, non banales, pas normales, exemplaires, exceptionnelles."
Si au moins il avait utilisé la langue arabe où le lyrisme passe mieux, naturellement. 15 ans plus tard, ce qui parait le plus extraordinaire c’est de comparer le classement de Cuba à l’Algérie.
La jeunesse cubaine ne rêve plus de quitter leur ile et leur espoir va vers le fringant Raul qui totalise plus de 4 fois 20 ans. Corneille dans le Cid disait que la valeur n’attend pas le nombre des années, mais elle ne semble pas être écrasée par lui quand le corps n’abrite aucune pourriture. D’après le Figaro 25/03/ 2015, le prix du pétrole dans les prochains mois pourrait descendre jusqu’à 20 dollars conséquence de l’ampleur du stockage aux USA et de la production qui ne ralentit pas.
À ce prix-là combien d’Algériens seront sauvés par l’Algérie des Bouteflika comme Cuba des Castro a sauvé les Cubains après l’effondrement de l’URSS ? De 100 à 20 dollars c’est la division par 5 pour les 40 millions de déshérités qui viendront demander des comptes et trouveront la même réponse qu’en 1988. C’est parce que le prix du blé a été multiplié par 3 que Ben Ali est tombé suivi de Moubarak, premier importateur, dit-on. Qui peut ne pas lier l’estomac à la révolte ?
On nous dira ce n’est rien, rien ne va changer, on saura dépasser le problème. Dépasser le problème et rebelote l’instabilité avec la kalachnikov et le sabre en attendant le salam qui a gommé pour toujours le bonjour. Le changement cosmétique à la tête avec un prix subventionné par le ciel : le remplissage des cimetières par les réveillés trop tard. Des vies inutiles, des bouches de moins à nourrir… Dans "Essais" Philippe Muray le politiquement incorrect écrit : "…il n’y a plus rien à "dépasser" dans la mesure où les pouvoirs y sont, depuis longtemps déjà, aux mains de la mafia des Dépasseurs."
En conclusion Fidel va mourir en paix entouré d’un peuple reconnaissant qui attire les touristes des 4 coins du globe. El Comandante a compris que le meilleur rempart d’un chef c’est la confiance de ses subordonnés. Quant à fakhamatouhou, même les hyènes qu’il a gavées de cadavres grignotent ses os de son vivant. Contre tous, le castrisme a construit Cuba. Avec tous, le Bouteflikisme a fini par démolir l’Algérie.
Mimi Massiva
Renvois
(1) JFK 50 ans de manipulations (Laurent Guénot)
(2) (Recherche en langue arabe (el Watan 25/03/2015)
(3) Corruption et démocratie en Algérie (le médecin-journaliste Djillali Hadjadj)
12:56 Publié dans Actualités, AL-Pays : Cuba, Culture, Economie, Point de vue, Politique, Portrait, Société | Tags : cuba, algérie, économie, histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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20/03/2015
Lettre de Fidel a Nicolas Maduro
Honorable M. le Président de la République bolivarienne du Venezuela, Nicolas Maduro,
Comme l’a annoncé la presse, demain mardi 17 mars, aura lieu à Caracas le Sommet de l’ALBA pour examiner la politique insolite du gouvernement des États-Unis contre le Venezuela et l’ALBA.
L’idée de créer cette organisation est venue de Chavez lui-même, désireux de partager avec ses frères caribéens les énormes ressources économiques dont la nature avait doté sa Patrie de naissance, mais dont les bénéfices avaient fini par atterrir aux mains de puissantes entreprises nord-américaines et de quelques millionnaires vénézuéliens.
La corruption et le gaspillage furent le principal stimulant de la première oligarchie fascisante, fanatique de la violence et du crime. Les violences et les crimes commis contre le peuple vénézuélien sont si intolérables que l’on ne saurait les oublier, et jamais il n’acceptera un retour au passé de l’époque prérévolutionnaire qui fut à l’origine des attaques contre les centres commerciaux et les assassinats de milliers de personnes, dont on ignore encore le chiffre exact.
Simon Bolivar se donna corps et âme à la colossale mission de libérer le continent. Plus de la moitié des meilleurs enfants de son peuple combattit et mourut au cours de longues années d’une lutte incessante. Avec moins de 1% de la surface de la planète, ce pays possède les plus grandes réserves d’hydrocarbures du monde. Pendant un siècle entier, il fut obligé à produire tout le combustible dont les puissances occidentales et les États-Unis avaient besoin.Au rythme actuel, les hydrocarbures, qui ont mis des millions d’années à se former, pourraient s’épuiser en moins d’un siècle, et les 7,2 milliards d’êtres humains que nous sommes aujourd’hui auront doublé en 100 ans, et auront atteint les 21 milliards en 200 ans, si bien que seuls les prodiges de la technologie la plus avancée pourraient peut-être permettre de prolonger un peu plus la survie de l’espère humaine.
Pourquoi n’utilise-t-on pas les fabuleux moyens de diffusion pour informer et éduquer les gens sur ces réalités – au lieu d’encourager la duperie – que chaque personne saine d’esprit est en droit de connaître ?
Un Sommet de l’ALBA ne peut pas avoir lieu sans que ces réalités qui nous touchent d’aussi près ne soient prises en compte.
La République bolivarienne du Venezuela a déclaré de façon précise qu’elle a toujours été prête à discuter de manière pacifique et civilisée avec le gouvernement des États-Unis, mais qu’elle n’acceptera jamais de recevoir des menaces ou ordres de ce pays.
J’ajoute que j’ai pu observer l’attitude, non seulement du peuple héroïque de Bolivar et Chavez, mais aussi une circonstance spéciale : la discipline exemplaire et l’esprit de la Force armée nationale bolivarienne. Quoi que puissent faire l’impérialisme des États-Unis, jamais il ne pourra compter sur cette armée pour faire ce qu’il a fait durant tant d’années. Aujourd’hui, le Venezuela possède les soldats et les officiers les mieux équipés d’Amérique latine.
Lorsque tu t’es réuni récemment avec les officiers, on pouvait constater qu’ils étaient prêts à verser jusqu’à leur dernière goutte de sang pour leur Patrie.
Une accolade fraternelle à tous les Vénézuéliens, aux peuples de l’ALBA et à toi personnellement.
Fidel Castro Ruz
Le 16 mars 2015
23h14
Mensaje de Fidel al presidente Nicolás Maduro
Honorable Señor Presidente de la República Bolivariana de Venezuela, Nicolás Maduro:
Como ha publicado la prensa, mañana martes, 17 de marzo, tendrá lugar en Caracas la Cumbre del ALBA para analizar la insólita política del gobierno de Estados Unidos contra Venezuela y el ALBA.
La idea de crear esa organización fue del propio Chávez, deseoso de compartir con sus hermanos caribeños los enormes recursos económicos con que la naturaleza había dotado a su Patria de nacimiento, pero sus beneficios habían ido a parar a manos de poderosas empresas norteamericanas y a unos pocos millonarios venezolanos.
La corrupción y el despilfarro fueron el estímulo fundamental de la primera oligarquía de tendencia fascista, adicta a la violencia y al crimen. Tan intolerable para el pueblo heroico de Venezuela es la violencia y el crimen que se cometió contra él que no puede olvidarse, y jamás admitirá un regreso al pasado vergonzoso de la época prerrevolucionaria que dio origen al asalto de los centros comerciales y el asesinato de miles de personas, de las cuales nadie puede asegurar hoy la cifra.
Simón Bolívar se entregó de lleno a la colosal tarea de liberar el continente. Más de la mitad de lo mejor de su pueblo luchó y murió en largos años de ininterrumpida lucha. Con menos del 1% de la superficie del planeta, posee las mayores reservas de hidrocarburos del mundo. Durante un siglo completo fue obligada a producir todo el combustible que las potencias europeas y Estados Unidos necesitaban. Aun cuando hoy los hidrocarburos, formados en millones de años, se consumirían en no más de un siglo, y los seres humanos que hoy alcanzamos los 7 200 millones en cien años más se duplicarán, y en doscientos sumarán veintiún mil millones, solo los prodigios de la más avanzada tecnología tal vez permitirían la supervivencia de la especie humana un poco más de tiempo.
¿Por qué no se utilizan los fabulosos medios de divulgación para informar y educar sobre estas realidades, en vez de promover engaños, que cada persona en su sano juicio debe conocer?
Una Cumbre del ALBA no puede transcurrir sin tomar en cuenta estas realidades que nos tocan tan de cerca.
La República Bolivariana de Venezuela ha declarado de forma precisa que siempre ha estado dispuesta a discutir de forma pacífica y civilizada con el gobierno de Estados Unidos, pero nunca aceptará amenazas e imposiciones de ese país.
Añado que he podido observar la actitud, no solo del pueblo heroico de Bolívar y Chávez, sino también una circunstancia especial: la disciplina ejemplar y el espíritu de la Fuerza Armada Nacional Bolivariana. Haga lo que haga el imperialismo de Estados Unidos, no podrá contar jamás con ellas para hacer lo que hizo durante tantos años. Hoy Venezuela cuenta con los soldados y oficiales mejor equipados de América Latina.
Cuando te reuniste con los oficiales en días recientes se podía apreciar que estaban listos para dar hasta la última gota de su sangre por la Patria.
Un abrazo fraternal para todos los venezolanos, los pueblos del ALBA, y para ti.
Fidel Castro Ruz
Marzo 16 de 2015
11 y 14 p.m.
Oficina de Prensa de la Embajada de Cuba
Service de Presse
Ambassade de Cuba en France
10:28 Publié dans Actualités, AL-Pays : Cuba, AL-Pays : Vénézuela, Amérique Latine, Economie, Politique | Tags : cubaba, maduro, castro | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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01/03/2015
CNI : HONDURAS
Données générales
Nom officiel : République du Honduras
Nature du régime : République
Chef de l’Etat et du Gouvernement : M. Juan Orlando HERNANDEZ ALVARADO (27 janvier 2014)
Données géographiques
Superficie : 112 492 km²
Capitale : Tégucigalpa (2 007 006 habitants selon l’INE en 2013)
Villes principales : San Pedro Sula (capitale économique), La Ceiba
Langue officielle : espagnol
Monnaie : Lempira
Fête nationale : 15 septembre
Données démographiques
Population : 8 098 000 habitants (FMI 2013)Densité : 74,6 habitants/km²
Croissance démographique (taux annuel) : 1,84 %
Espérance de vie : 74 ans (Banque mondiale 2012)
Taux d’alphabétisation : 85 % (Banque mondiale 2012)
Population vivant en dessous du seuil de pauvreté : 61 % (2013)
Indice de développement humain : 0,617 (129e rang sur 187, selon le classement du PNUD 2014)
Données économiques
PIB (FMI 2013) : 19 Mds $
PIB par habitant (FMI 2013) : 2 323 $
Taux de croissance (FMI 2013) : 2,6 %
Transferts d’argent des migrants (DG Trésor 2013) : 3 milliards de dollars, soit environ 16,8 % du PIB
Taux de chômage (FMI 2013) : 4,4 %, taux de sous-emplois : près de 50 %
Taux d’inflation (FMI 2013) : 5,2 %
Solde budgétaire (FMI 2013) : -7,4 % du PIB
Solde commercial (DGtrésor 2013) :- 4,1 milliards USD
Principaux clients : Etats-Unis (35,5%), Union européenne (20%), Salvador, Guatémala
Principaux fournisseurs : Etats-Unis (42%), Guatémala, Salvador, UE, (6%), Mexique (5,7%)
Part des principaux secteurs d’activités dans le PIB (Banque mondiale 2013) :
- agriculture : 13,4 %
- industrie : 27,3 %
- services : 59,3, %
Exportations de la France vers le Honduras : 15,7M€ (2013)
Importations françaises depuis le Honduras : 61,9 M€ (2013)
Site de la mission économique au Guatémala : http://www.tresor.economie.gouv.fr/…
Communauté française au Honduras : évaluée à 500 (409 inscrits en 2013)
Touristes français : environ 20 000 (essentiellement site maya de Copán et îles de la baie)
Communauté hondurienne en France : 250 inscrits en 2013
Politique intérieure
La présidence de Porfirio Lobo (2010-2014, parti National) a constitué une étape de transition après le coup d’Etat du 28 juin 2009 et les sept mois du gouvernement de facto de M. Roberto Micheletti. Peuvent être portées à son actif la réinsertion du Honduras sur la scène internationale et une relative pacification sociale.
En revanche, en dépit d’une croissance économique d’environ 3 %, elle s’est soldée par un accroissement de la pauvreté et des écarts de richesse et une envolée de la dette. Outre ces difficultés, le Honduras doit faire face à de multiples défis : très forte criminalité et insécurité , une hausse du trafic de drogues et du crime organisé, une forte corruption et des violations des droits qui touchent, notamment, les défenseurs des droits de l’Homme, les journalistes et les avocats….
Le pays est également secoué par des tensions préoccupantes entre propriétaires terriens et paysans sans-terre, dans la vallée du Bajo Aguán. Devenu à la fois plus grave et plus complexe depuis le coup d’Etat de 2009, le plus violent conflit agraire qu’ait connu l’Amérique centrale depuis quinze ans entraîne des violations régulières des droits de l’Homme, qui auraient provoqué plus de 90 assassinats. A l’initiative de la France, un groupe d’ambassadeurs des Etats-membres de l’Union européenne, ainsi que l’ambassadeur de France en charge des droits de l’Homme, s’était rendu sur le terrain en avril 2013.
Des élections générales se sont tenues le 24 novembre 2013. Les trois principaux candidats aux présidentielles étaient Juan Orlando Hernández pour le partido Nacional, Mauricio Villeda pour le partido Liberal, et Xiomara Castro (épouse de Manuel Zelaya) pour le partido Libre. Ces élections étaient atypiques dans un paysage politique hondurien marqué par le bipartisme. Marquées par une forte participation (61,16 %), ces élections, à un seul tour, ont maintenu le parti National au pouvoir : c’est finalement Juan Orlando Hernandez qui l’a emporté avec 36,8 % des voix, devant Xiomara Castro (28,79 %), Mauricio Villeda (20,30 %), et Salvador Nasralla (parti anti-corruption, PAC : 13,43 %). Le parti Libre a d’abord contesté ces résultats, en introduisant un recours en nullité devant le Tribunal suprême électoral. Sa requête a toutefois été déboutée : Juan Orlando Hernandez (parti National) a été officiellement été proclamé Président de la République par le TSE le 11 décembre. La sécurité, la création d’emplois et la réduction de la pauvreté sont les trois priorités auxquelles M. Juan Orlando Hernández veut s’attaquer. Il a pris ses fonctions le 27 janvier 2014.
Le parti Libre, créé par l’ex-président destitué par le coup d’Etat de 2009, Manuel Zelaya, parvient donc à rompre la dynamique du bipartisme au Honduras en se hissant comme deuxième force politique du pays devant le parti Libéral. De même le parti Anti-corruption devient la quatrième force politique du Honduras et un parti charnière au Congrès.
Au niveau législatif, le Congrès se compose de quatre grandes forces politiques disparates. À la différence des élections de 2009, le parti National n’atteint pas la majorité absolue et est ainsi ramené de 71 à 48 députés, ce qui le conduira à rechercher des alliances. Le parti Libéral, qui compte 27 députés, pourrait faire alliance avec le PN sur un certain nombre de projets de loi. Le parti Libre (37 sièges) et le parti anti-corruption (13 sièges) pourraient quant à eux s’allier en opposition. Sur 128 députés, ce nouveau Congrès compte 81 nouveaux parlementaires, mais beaucoup d’entre eux ont un lien de parenté avec ceux de la législature sortante.
Situation économique et sociale
La relance de l’économie, mise à mal par la crise mondiale et l’isolement consécutif au coup d’Etat, constitue un défi majeur pour le Honduras, dont l’économie est partiellement dollarisée (30 % en 2011). Il s’agit de redonner confiance aux bailleurs de fonds et aux investisseurs étrangers, tant sur le plan politique que sur le plan sécuritaire. Le Honduras a enregistré une croissance moyenne de 2,6 % en 2013, contre 3,5 % en 2012.
Le PNUD a souligné le haut degré d’inégalité dans tous les domaines au Honduras, classant le pays au 3ème rang en Amérique latine dans ce domaine, derrière Haïti et la Colombie. La concentration de la terre est extrême, avec 4,8 % des exploitations (ayant une superficie de plus de 50 hectares) occupant 61,5 % des terres arables.
Politique extérieure
Historiquement, le Honduras entretient des relations étroites et privilégiées avec les Etats-Unis, qui n’ont pas rappelé leur ambassadeur après le coup d’Etat du 28 juin 2009. Ils sont le premier partenaire commercial du Honduras (accord régional de libre-échange CAFTA-DR signé le 1er avril 2006), et les transferts financiers des migrants installés aux USA (12 % des Honduriens, soit plus d’un million de personnes, vivent aux Etats-Unis) représentent 16 % du PIB. Le Honduras a de bonnes relations avec le Mexique, celui-ci étant devenu son 1er investisseur en 2012 (192 MUSD) devant les Etats-Unis (173 MUSD).
Le Honduras avait adhéré le 28 août 2008 à l’Alliance bolivarienne pour les Amériques (ALBA), organisation dont il est sorti rapidement après l’éviction du président Zelaya. Néanmoins, on note un certain rapprochement avec le Vénézuéla ces derniers mois.
17:44 Publié dans AL-Pays : Honduras, AL-Pays : Honduras CNI, Amérique Latine, Economie, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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15/01/2015
CNI : ARGENTINE
Données générales
Nom officiel : République argentine
Chef de l’Etat : Présidente de la Nation argentine, Mme Cristina FERNANDEZ de KIRCHNER
Données géographiques
Superficie : 2,7 millions km²
Capitale : Buenos Aires (3 millions d’habitants, 13 millions avec la grande banlieue)
Villes principales : Córdoba, La Matanza, Rosario, Mendoza, La Plata
Langue (s) officielle (s) : espagnol
Monnaie : peso argentin (1 euro= 10,8 pesos au mois de septembre 2014)
Fête nationale : 25 mai (proclamation de l’indépendance le 25 mai 1810 lors de la « Révolution de Mai », définitivement acquise le 9 juillet 1816).
Données démographiques
Population : 41,09 millions
Espérance de vie : 76,1 ans
Taux d’alphabétisation : 97,4%
Religion (s) : catholique romaine 88%, protestante 7%, juive 2%, autres 3%
Indice de développement humain (PNUD 2012) : 45/ 177 (0,811)
Indices de pauvreté et d’indigence officiels : 10 % et 2,5 %
Données économiques
PIB (2013) : 611 Mds USD
Taux de croissance PIB (2013) : 3 %
Taux de chômage (2013) : 6,8 %
Taux officiel d’inflation (2013) : 10,9% (les estimations privées font état d’un taux de 28 %)
Balance commerciale (2013) : + 9 Mds USD
Solde budgétaire (2013) : -2,5% du PIB
Excédent commercial français (2013) : + 775 M€ (14è mondial)
Exportations françaises vers l’Argentine (2013) : 1,2 Md € (3ème client en Amérique latine)
Importations françaises d’Argentine (2013) : 462 M€ (10ème client européen)
http://www.tresor.economie.gouv.fr/…
Dispositif diplomatique et consulaire français en Argentine : Ambassade de France et Consulat Général à Buenos Aires.
Communauté française en 2013 : 14 500 inscrits au registre des Français établis hors de France (dont 67% de binationaux). Près de 140 000 touristes français en 2012.
Politique intérieure
Institutions
Constitution : L’Argentine est une République fédérale. Son régime politique est un régime présidentiel. La Constitution date de 1853 et a été révisée en 1860, 1866, 1898, 1957 et 1994.
Pouvoir exécutif : le Président est élu pour quatre ans au suffrage universel direct. Son mandat est renouvelable une fois. Le candidat qui obtient au premier tour plus de 40% des voix, avec une marge de plus de 10% sur son principal rival, ou 45 %, est déclaré élu selon l’article 98 de la Constitution.
Pouvoir législatif : le Congrès bicaméral est composé d’une Chambre des députés de 257 membres, renouvelée par moitié tous les deux ans, et d’un Sénat, renouvelé par tiers tous les 2 ans, de 72 membres élus dans chaque province (3 sièges dont un réservé au parti arrivé second à l’élection).
Système fédéral : les 23 provinces et la capitale fédérale de Buenos Aires sont dirigées par un exécutif élu pour quatre ans au suffrage universel direct (le Gouverneur et le Vice-Gouverneur) et des assemblées régionales. La Constitution réserve au pouvoir central les compétences régaliennes (affaires extérieures, défense, monnaie, crédit). L’essentiel des impôts est recouvré par le pouvoir central et redistribué aux provinces et aux municipalités.
La Cour suprême coiffe l’ensemble du système judiciaire. Ses membres, nommés par le chef de l’Etat, sont confirmés par un vote du Sénat aux deux tiers.
Principaux groupements et partis politiques
Mouvement National Justicialiste, ou Péroniste. Principal mouvement de masse argentin, créé autour de Juan Perón en 1946. Il regroupe plusieurs tendances qui couvrent un large spectre politique allant de la droite conservatrice jusqu’à la gauche. Il détient aujourd’hui la majorité des sièges au Parlement. La coalition présidentielle, le Front pour la victoire, est principalement armée par le péronisme, mais une partie de celui-ci est dans l’opposition.
Parti Radical, ou Union Civique Radicale. Parti de centre gauche fondé en 1891, il regroupe des libéraux centristes et des sociaux-démocrates. Il a donné plusieurs Présidents à la République argentine, dont Raúl Alfonsín (1983-1991) et est le deuxième parti le plus représenté au Parlement. Le candidat de ce parti à l’élection présidentielle de 2011 était M. Raúl Alfonsin, fils de l’ancien président.
Propuesta Republicana (PRO) est une coalition de partis de centre droit, fondée en mai 2005 et principalement implantée dans la capitale. Le PRO est dirigé par Mauricio Macri, maire de Buenos Aires.
Parti socialiste (PS) : il est traditionnellement faible à l’échelle nationale en raison de l’omniprésence historique des partis péroniste et radical et ne dirige qu’une seule des 27 provinces. Lors de l’élection présidentielle du 23 octobre 2011, la coalition constituée autour de lui est devenue, pour la première fois de son histoire, la principale force d’opposition devant le parti radical. Son candidat M. Binner est arrivé en deuxième position avec 17 % des voix.
Politique intérieure
Le « modèle K », mis en place depuis 2003, se caractérise en effet par un fort interventionnisme de l’Etat notamment dans le domaine économique (accroissement de l’investissement public, étatisation d’entreprises privées). Les époux Kirchner ont conduit une politique d’inclusion sociale volontariste grâce aux redistributions de la manne agricole. L’action gouvernementale a obtenu des résultats significatifs en matière de réduction de la pauvreté ou du chômage, passé de 17,3% en 2003 à 6,8% aujourd’hui. Dans un pays encore marqué par la période de la dictature (1976-1983), les droits de l’Homme et le travail de mémoire sont aussi au cœur du projet de société promu par les Kirchner. L’implication personnelle de Nestor Kirchner a ainsi été décisive pour faire abroger les lois d’amnistie en 2003. Depuis l’ouverture des procès en novembre 2009, plusieurs centaines de responsables de crimes commis pendant la dictature ont été condamnés. Des lois en matière sociétale ont également été adoptées : fin de vie, identité de genre, mariage homosexuel.
Réélue pour un second mandat au premier tour des élections présidentielles de 2011 (53% des voix), Mme Kirchner ne pourra pas se représenter en octobre 2015. Malgré des résultats mitigés aux élections législatives du 27 octobre 2013, son parti conserve la majorité dans les deux chambres et demeure la première force politique du pays avec 33% au niveau national. Les mesures protectionnistes (licences d’importation, limitation de l’accès aux dollars) ont cristallisé le mécontentement d’une partie de la population, notamment des classes moyennes urbaines.
Situation économique
26ème puissance économique mondiale et 3ème d’Amérique latine (après le Brésil et le Mexique), le pays a bénéficié d’une croissance forte et stable (7,5% en moyenne par an de 2003 à 2011), soutenue par la demande du marché brésilien et les exportations de soja (25% des exportations totales). Après le net ralentissement de 2012 (1,5%), le taux de croissance a atteint 3% en 2013.
L’économie argentine reste confrontée à des difficultés structurelles comme :
- la persistance d’une inflation élevée (28% selon les instituts privés) que les mesures prises pour les autorités ne parviennent pas à contenir : contrôle des prix, gel des tarifs des services publics, limitation des revalorisations des salaires (de l’ordre de 25% par an).
- le besoin d’infrastructures dans des secteurs stratégiques (énergie, transports). Pour être en mesure de les financer, l’Argentine cherche à pouvoir de nouveau emprunter sur les marchés. Elle a avancé ces derniers mois de manière significative dans la voie d’une normalisation de ses relations avec les institutions financières internationales : accord avec le Club de Paris en mai 2014 (9,7 Mds USD de dettes), exécution des sentences définitives rendues par le CIRDI, reprise d’un dialogue constructif avec le FMI.
Ce retour sur les marchés est compliqué par le contentieux avec les fonds spéculatifs dits « vautours ». L’Argentine a été placée en situation de défaut de paiement partiel le 30 juillet dernier après avoir été empêchée de rembourser des créanciers restructurés par la justice américaine. Cette dernière exige de l’Argentine qu’elle rembourse préalablement et intégralement deux fonds spéculatifs américains, ce qui est susceptible de remettre en cause les opérations de restructuration de la dette de 2005 et 2010. Bénéficiant de nombreux soutiens internationaux, Buenos Aires multiplie les initiatives pour essayer de sortir de l’impasse.
Politique extérieure
Historiquement tournée vers l’Europe, l’Argentine a fait depuis 2003 de son rôle en Amérique latine une priorité de politique étrangère. Elle se sent en particulier proche du Brésil, principal partenaire, même si les relations entre les deux grands du sous-continent peuvent parfois se tendre, notamment en matière commerciale. Mme Dilma Rousseff a réservé à Buenos Aires son premier déplacement à l’étranger en février 2011. Les deux pays ont signé des accords de coopération et se sont engagés à maintenir l’Atlantique sud comme zone exempte d’armes nucléaires. Les relations avec l’Uruguay, bien qu’incontournables, se sont dégradées ces derniers temps (polémique autour des activités d’une usine de pâte à papier). Malgré les difficultés actuelles, l’Argentine accorde une attention particulière au Mercosur, dont elle est l’un des membres fondateurs avec le Brésil, le Paraguay et l’Uruguay. Elle n’hésite pas à l’utiliser comme une tribune politique et à y faire jouer la solidarité régionale.
Membre du G20 où elle défend une conception sociale des relations économiques et promeut la lutte contre les paradis fiscaux, l’Argentine s’est aussi rapprochée des pays émergents dont elle partage certaines préoccupations (meilleure représentation des émergents dans les institutions internationales). Elle entretient de bonnes relations avec la Chine, 2ème partenaire commercial, et avec la Russie (visites à Buenos Aires des Présidents Xi Jinping et Poutine en juillet 2014).
Buenos Aires, après avoir été très proche des Etats-Unis pendant la présidence de Carlos Menem, a adopté des positions plus critiques à l’encontre de Washington au cours du mandat de Nestor Kirchner. Les relations entre les deux pays peinent à retrouver le niveau atteint dans les années 1990 malgré une certaine amélioration depuis l’arrivée de Mme Kirchner au pouvoir. Le Président Obama a rencontré la présidente argentine à Washington en avril 2010.
La Présidente a par ailleurs montré la volonté de consolider les relations bilatérales avec des pays européens comme l’Italie, l’Allemagne et la France. Les relations avec Londres restent compliquées par la question des Malouines.
23:03 Publié dans AL-Pays : Argentine, AL-Pays : Argentine CNI, Carte Nationale d'Identité Pays Amérique Latine, Economie, Politique | Tags : argentine, identité | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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