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23/12/2018

Cuba : Cuisine et gastronomie

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Une cuisine caribéenne à base de riz, de fruits et de viande

La cuisine cubaine, semblable au reste de la gastronomie caribéenne, se base principalement sur le riz, les fruits locaux, le maïs et la viande.

Le plat national s'appelle le congri et est un plat à base d'oignons, de riz blanc, de haricots noirs et de morceaux de lard, le tout frit. Les Cubains consomment aussi régulièrement ce qu'on appelle des sandwichs cubains, cuisinés à partir de pain cubain - semblable à celui français -, de fromage suisse, de cornichons, de moutarde et de tranches de porc. De nombreux plats sont aussi préparés à base de riz, comme l’arroz (riz) con leche, l'arroz con maiz ou l'arroz con pollo. Le picadillo consiste lui en un plat à base de bœuf haché d'oignons, d'ail et d'épice et bien sûr de riz blanc. Enfin, les langoustes sont extrêmement recherchées sur l'île : la pêche est contrôlée et autorisée seulement quelques mois dans l'année. Elles se consomment épicées et pimentées, ou bien simplement grillée avec un filet de citron.

Les boissons

Les Cubains raffolent d'alcool et en particulier du rhum. Le célèbre Havana Club est d'ailleurs originaire de Cuba, sans surprise. Mojito, Cuba libre, Daiquiri, tous sont consommés régulièrement. Le café, produit dans le pays, est aussi très apprécié. Enfin, il existe aussi quelques bières cubaines qui peuvent valoir le détour : la Cristal, la Bucanero et l'Hatuey.

Sources Motards.com

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Cuba vue du ciel ! Image diffusée par la Nasa

12:52 Publié dans AL-Pays : Cuba, Société, Voyage | Tags : cuisine cuba | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  Facebook | | | | Pin it! | | |  del.icio.us | Digg! Digg

22/10/2018

A Cuba, cinq lieux étonnants qui méritent le détour

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Au pays de la salsa, il n’y a pas que le Malécon de la Havane et les plages turquoises de Varadero, mais des sites artistiques/historiques qui gagnent à être connus.

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La Havane, l’exubérant Fusterland

La capitale cubaine a son Facteur Cheval : José Fuster, peintre, sculpteur et céramiste né en 1946. Inspiré par Gaudi et Picasso, qu’il avait découverts lors d’un voyage à Barcelone, il a commencé par décorer sa maison et ses abords. Dans un style exubérant, avec des sculptures et des mosaïques aux couleurs vives et aux motifs de sirènes, poissons, palmiers, saints de la Santería, etc. Puis, dans ce quartier excentré de Jaimanitas, situé à l’ouest de La Havane, il a poursuivi en ornant les habitations de ses voisins.

> Ouvert tous les jours de 9 h 30 à 16 heures. Entrée gratuite.

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Baie des Cochons… et des plongeurs

Il ne reste rien sur ces plages où débarquèrent des exilés cubains soutenus par les États-Unis, en avril 1961. Juste un petit musée. Mais la baie est un endroit intéressant pour la plongée sous-marine, praticable depuis le rivage. En snorkeling aussi, on peut voir coraux (vivants) et poissons abondants (à Caleta Buena : entrée 15 € avec repas. Masques et tuba : 3 €).

Santiago, chorégraphie au cimetière

Dans Santiago, le San Francisco cubain, se trouve le cimetière Santa Ifigénia. C’est là que reposent, outre Compay Segundo et Emilio Bacardi, Fidel Castro et les héros de l’indépendance et de la révolution. Ne ratez pas devant le mausolée de José Marti, la relève de la garde, exécutée en musique toutes les demi-heures, par des soldats choisis et instruits pour cette tâche. Une vraie chorégraphie.

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Biran, le berceau de Fidel

C’est le domaine familial, fondé par le père, Angel Castro, riche propriétaire terrien, originaire de Galice. Lieu de naissance de Fidel et de Raul. On l visite comme un musée : la demeure, le lit que partageaient les deux frères, l’école, l’arène pour le combat de coqs… (10 €).

Puerto Padre, un air de Don Quichotte

Rien de particulier dans ce petit port isolé mais il mérite le détour pour son ambiance hors du temps. On l’a surnommé “la ville bleue des moulins”. Un haut Don Quichotte accueille le visiteur. Professeur du commandante , le père (jésuite) Llorente ne disait-il pas que « Castro, c’est Don Quichotte qui a pris le pouvoir ? »

Sources : Le Progrès

18:51 Publié dans AL-Pays : Cuba, Voyage | Tags : cuba, tourisme | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  Facebook | | | | Pin it! | | |  del.icio.us | Digg! Digg

12/04/2018

Cuba n’a jamais autant séduit les Français

Par Laurent Guéna pour le quotidien du tourisme, cuba

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Malgré Irma, Cuba a battu des records en 2017 avec l’arrivée de 209 600 touristes français contre 180 000 en 2016. 2018 s’annonce aussi belle.

Rosa Adela Mejias Jimenez, directrice de l’Office de tourisme de Cuba, peut avoir sourire. Les Français n’ont jamais été aussi nombreux à se rendre à Cuba. Le record de 2016, 180 000 arrivées, n’est déjà plus un repère. Le chiffre à dépasser, c’est maintenant 209 600. 

La France est aujourd’hui le premier marché en Europe grâce, en partie, aux dessertes aériennes qui se sont développées et qui entraînent de meilleurs tarifs; « Sans Irma, nous aurions fait mieux », souligne la directrice qui se réjouit que l’année 2018 parte sur des bases quasi identiques malgré les conséquences de l’ouragan qui ont entraîné des annulations cet automne. « Depuis décembre, les réservations repartent à la hausse, nous avons fait un gros effort d’information en temps réel ».

Rosa Adela Mejias Jimenez loue la créativité « des tour-opérateurs et des agences de voyages françaises » qui poussent les réceptifs cubains à trouver des offres qui sortent des « sentiers battus » pour répondre « à de nouvelles demandes ». En effet, l’une des particularités des Français est d’être à la recherche d’offres culturelles qu’ils combinent avec du balnéaire. Les randonnées  accompagnées par des guides sont aussi de plus en plus demandées. « C’est comme cela que nous fidélisons les Français, nous avons un taux de « repeaters » de 25%.

Pour accompagner cette montée en puissance du tourisme, Cuba va ouvrir 4020 chambres par an. L’office met en avant les hôtels E, une trentaine d’hôtels de charmes situés dans des villes coloniales et gérés par diverses enseignes internationales. Rosa Adela Mejias Jimenez, tient à tordre le coup à la rumeur, « tous les vols intérieurs sont normalement assurés à Cuba ».

Enfin, Cuba a communiqué tous azimuts en ce début d’année. A la télévision avec TUI et, aussi, dans le métro parisien. Par ailleurs, l’office a participé à de nombreux salons grand public et a été mis à l’honneur à la foire internationale de Rouen.

A noter que le Fitcuba, salon professionnel se tiendra à Cayo Santa Maria du 2 au 6 mai 2018.

17:45 Publié dans AL-Pays : Cuba, Voyage | Tags : cuba, tourisme, record, 2018 | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  Facebook | | | | Pin it! | | |  del.icio.us | Digg! Digg

03/12/2017

La terre des esclaves de la canne à sucre

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Antoine, chanteur et navigateur, pénètre au cœur de Cuba dans ce troisième extrait (toujours aussi exclusif) de son documentaire Cuba est une fête. Nous entrons avec lui dans la terre des esclaves de la canne à sucre.

Antoine nous entraîne au centre de l'île de Cuba, dans la province de Sancti Spiritus, dont le nom est aussi celui de sa capitale. La ville, qui fut détruite et reconstruite, a connu un essor à l'époque coloniale, aux XVIIe et XVIIIe siècles. Il en reste un quartier à l'architecture originale et particulièrement coloré.

Dans cette jolie cité se trouve un pont qui a charmé Antoine. C'est le Puente del Río, une des attractions de la ville. Il enjambe le fleuve Yayabo, lequel a donné son nom à la guayabera, une chemise, blanche ou colorée, qui intègre discrètement des symboles de Cuba et dont le succès s'étend, encore aujourd'hui, à bien d'autres îles des Antilles.

La tour Iznaga, pour surveiller les travailleurs enchaînés

cuba,esclave,canne à sucrecuba,esclave,canne à sucreAntoine s'enfonce ensuite dans la Vallée de Los Ingenios, c'est-à-dire la région (elle comprend en fait trois vallées) où s'entassaient de nombreuses plantations de canne à sucre. Jusqu'au XIXe siècle, des milliers d'esclaves travaillaient là.

Les dernières images montrent la tour Iznaga (ou Manaca-Iznaga). Ce n'est pas un clocher mais une vigie. De là-haut, les gardes surveillaient les esclaves qui coupaient la canne dans la vallée.

Sources Futura

Photos exclusives E-Mosaique

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